La réalité des éditeurs de CRM - Nomalys
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02 Déc La réalité des éditeurs de CRM

Le lien entre taux d’échec des CRM et organisation commerciale des entreprises (07/11/13 – Les Echos)

Alors que l’implémentation d’un CRM est un échec dans 1 cas sur 2 (source Forrester Research), pourquoi les entreprises continuent-elles à vouloir se lancer dans un tel projet ? Pourquoi  un investissement si lourd en termes financiers et de temps, entraînant un si faible taux de satisfaction, continue-t-il à faire « fantasmer » autant d’entreprises ?Et si, depuis le temps qu’on en parle, toutes les explications qui ont été avancées n’étaient pas les bonnes ? Et si le taux d’échec des CRM n’était que le reflet de l’organisation commerciale des entreprises ?

Quand la réflexion sur le CRM se nourrit d’attentes auxquelles l’outil seul ne peut pas répondre

Souvent présenté comme la solution pour pallier au silo marketing-ventes ou comme l’outil fondamental sur lequel baser le pilotage et le monitoring de l’activité commerciale, le CRM fait beaucoup fantasmer.

Les objectifs qui lui sont assignés sont notamment d’améliorer la démarche commerciale mais aussi marketing, en donnant aux commerciaux plus de visibilité sur les affaires et sur les opportunités, de disposer d’une information plus structurée, centralisée et mieux partagée, de bénéficier d’une gestion automatisée des tâches et un reporting amélioré et fiabilisé …

Dreamforce : Salesforce et les 135 000 fans (29/11/13 – Les Echos)

Salesforce a annoncé se positionner sur trois nouveaux axes :

Salesforce1 : Actuellement, l’utilisation de Salesforce dans un contexte de mobilité n’est pas une expérience agréable. Ce problème est résolu avec la plateforme Salesforce1. L’objectif de cet outil est de permettre le développement d’applications mobiles CRM très rapidement. Salesforce1 facilite aussi l’intégration de produits tiers comme Dropbox, Evernote ou Linkedin. Le travail d’un commercial étant d’abord un travail de terrain, cette annonce est très importante pour améliorer l’efficacité d’une équipe commerciale mobile.

Internet of customers : De plus en plus d’objets seront connectables. Etre capable de collecter l’information en provenance de ces objets pour ensuite les associer au profil d’un client, pourrait être un bien très précieux pour les entreprises. Les anglo-saxons parlent de Digital Body Language : comprendre le comportement d’un client en en récoltant de l’information sur les objets et leur utilisation au format digital. Salesforce se positionne sur ce marché émergeant.

Superpod : Dans certain contexte l’utilisation du cloud n’est pas possible pour des raisons légales. Conscient que ceci peut limiter son expansion, Salesforce propose la solution Superpod en partenariat avec HP. Avec Superpod, le cloud disparaît. En échange une grosse machine arrive chez soi avec un prepackaging de Salesforces. Cette offre cible les clients de la taille d’une entreprise comme HP.

Les éditeurs de logiciels investissent fortement dans le SaaS (25/11/13 – Clubic Pro)

Le secteur du logiciel continue à se développer en Europe alors qu’il est en pleine mutation vers un modèle de plus en plus basé sur le cloud. Un revirement qui justifie la hausse des dépenses en R&D.

« L’industrie du logiciel en Europe est prospère », veut rassurer Neelie Kroes, Commissaire européen en charge du numérique, et soutien de ce baromètre. Le chiffre d’affaires global des acteurs européens s’affiche en croissance annuelle de 10% à plus de 41 milliards d’euros sur l’ensemble de l’année 2012. À noter que les trois quarts ont été réalisés par les 25 premières sociétés du classement – encore dominé par l’allemand SAP, suivi du français Dassault Systems et du britannique Sage.

En ajoutant Hexagon et Wincor Nixdorf, ces cinq sociétés sont à l’origine de plus de la moitié des recettes globales, ce qui atteste d’une consolidation accrue du secteur. En parallèle, les bénéfices de ces entreprises ont reculé de près de 9% sur un an en raison d’un effort accru en matière d’investissement. L’an dernier, les éditeurs ont investi plus qu’ils n’ont gagné : les dépenses en recherche et développement ont crû de 20% comparé à l’année passée et les emplois qui y sont dédiés ont augmenté de 6%, soit 63 000 embauches.



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