Cloud et objet connecté au coeur de l'actualité - Nomalys
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12 Juil Cloud et objet connecté au coeur de l’actualité

Renault fait du numérique un coeur technologique de ses véhicules (11/07/13 – CIO Online)

Le constructeur automobile a noué des partenariats industriels pour transformer ses véhicules en objets communicants capables d’opérer des transactions financières sécurisées.

Le groupe Renault propose sur un nombre croissant de véhicules, au fur et à mesure du renouvellement de sa gamme, sa tablette R-Link. Celle-ci propose au conducteur des services classiques pour une tablette tels que le GPS. Fonctionnant sous Android, elle se connecte grâce à un abonnement télécom classique et intègre une fonctionnalité de paiement sécurisé afin de permettre aux conducteurs des opérations de m-commerce, notamment pour acheter des applications ou des services.

Le coût de la tablette se décompose en coût d’équipement (de 0 à 590 euros selon les modèles de véhicules) et en coût d’abonnement télécom (six premiers mois offerts, 54,90 euros/an pour une connexion Europe ensuite).

La tablette R-Link est le fruit de partenariats industriels. La tablette elle-même a été développée en partenariat avec Tom-Tom. La connectivité est le fruit du partenariat avec l’opérateur Orange. Et la fonction m-commerce a été réalisée grâce au partenariat avec Atos Worldline.

Cette dernière réalisation a valu au fournisseur d’être distingué par le Trophée de l’Innovation lors de la cérémonie des Trophées Fournisseurs remis par Renault. Le numérique rentre de ce fait clairement dans le coeur technologique voulu par le constructeur automobile.

33 % des entreprises françaises ont perdu des données stockées dans le cloud en 2012 (04/07/13 – InfoDSI)

Aujourd’hui, de nombreuses entreprises migrent vers des plates-formes de cloud computing pour bénéficier des avantages concurrentiels inhérents aux gains qui en découlent en matière de vitesse, d’agilité et de flexibilité. Selon l’enquête Avoiding the Hidden Costs of the Cloud – 2013 publiée en janvier 2013 par Symantec, 86 % des entreprises françaises en sont au moins à discuter de cloud computing, 79 % pour les PME.

Une mauvaise utilisation du cloud computing peut en revanche se révéler désastreuse pour les entreprises qui peuvent voir leurs coûts augmenter ou observer des pertes d’informations ou de données. En France, 33 % des entreprises ont perdu des données stockées dans des clouds et 70 % ont été confrontées à des échecs de restauration.

Les directions refusent 37% des projets par frilosité technologique (04/07/13 – InfoDSI)

Plus d’un tiers des projets en entreprise (37%) ont été refusés par les directions ou les conseils d’administration en raisons de peurs, d’après une enquête commandée par Mozy par EMC, le fournisseur de services de sauvegardes et d’accès au Cloud. De plus, 57% des décideurs IT estiment que les directions générales sont les plus anxieuses concernant les implémentations de nouvelles technologies et plus de la moitié (55%) affirment que leur société considère l’adoption d’une technologie comme un risque potentiel.

« Gamification » (néologisme anglais consistant à rendre les activités professionnelles ludiques) reste encore le pire mot tendance pour obtenir un budget. « Collaboration », « à la demande » et « virtualisation » sont les mots les plus vertueux pour obtenir l’accord sur un projet. Malgré le fait que « à la demande », « as a service (…aaS) » (qui signifie « comme un service ») et « Cloud » soient des termes parfois tous combinés pour décrire un même projet, 17% des directeurs informatiques déclarent que « as a service » gêne plutôt leur discours alors qu’ils sont seulement 5% à dire la même chose de « à la demande ». Réciproquement, ils sont 53% à penser que « à la demande » est positif pour leurs demandes contre seulement 5% pour « as a service ».

IBM France redouble d’efforts sur son écosystème cloud (27/06/13 – Le Monde Informatique)

Développer à l’échelle locale la montée en puissance de ses partenaires dans le cloud, c’est l’un des principaux objectifs d’IBM France qui met en place une série de programmes pour les accompagner.

« La richesse du cloud se crée vraiment au niveau local parce qu’il ne représente pas uniquement une transformation informatique, mais aussi une transformation du business sur l’ensemble de l’écosystème ».  Avec des offres de plus en plus diversifiées qui permettent notamment aux éditeurs de compléter leurs services à travers un catalogue applicatif en ligne, il constitue le moteur de croissance de demain, pointe Christian Comtat, directeur du cloud computing chez IBM France, qui donne en exemple ce qui a été réalisé avec Smarter Cities et « que nous n’aurions pas pu faire seul sans le cloud ».



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